Sonia Mabrouk déjà à pied d’œuvre

Revenir de congés maternité n’est jamais quelque chose de facile. Outre la fatigue des premiers mois après l’arrivée d’un nourrisson, il y a aussi le stress de la reprise après une longue absence. Mais Sonia Mabrouk n’a pas paru plus perturbée que cela.  C’est ce qu’elle a expliqué lors d’une interview. « J’étais plutôt dans une excitation maîtrisée. Ça me vient peut-être de mon nouveau rôle de maman. Je maîtrise mieux mes angoisses ». Avant de conclure : « C’est assez singulier, car je n’ai jamais coupé depuis mes débuts, soit une vingtaine d’années. Pour ce congé, je me suis accordé une vraie parenthèse enchantée, forcément ».

Des réveils très matinaux pour Sonia Mabrouk

La journaliste a visiblement vite repris ses marques sur la chaîne d’information continue du groupe Canal. Elle a ainsi repris son rythme avec des réveils toujours très matinaux. Celui-ci sonne en effet à 5h15 tous les matins. Même si « depuis la naissance de ma fille, il sonne toutes les heures ». Une nouvelle vie pour Sonia Mabrouk donc, mais énormément de plaisir. Âgée de 46 ans, la naissance de sa petite fille était un rêve attendu depuis de nombreuses années. « C’est un bonheur absolu et la réalisation d’un rêve inassouvi. Je l’attends depuis tellement longtemps. Je considère cet heureux événement comme un don du ciel ».

 

 

 

 

 

« La grande Soraya veille sur la petite »

Comme il est de tradition, la transmission du prénom se fait des grands-parents vers les petits enfants. Le prénom Soraya résonne donc de manière assez singulière pour Sonia Mabrouk, car il s’agissait du prénom de sa mère. « C’est un prénom arabe d’origine persane qui veut dire princesse. Pour avoir souvent écrit sur la transmission et l’héritage spirituel et culturel, c’était une continuité évidente. J’aime ce prénom un peu daté ». Avant de conclure « Après le décès de maman, et avant de tomber enceinte, je me demandais comment le faire revivre. Aujourd’hui, j’adore entendre quelqu’un le prononcer, quand on me demande par exemple : ‘Comment va Soraya ?’. Et j’aime à penser que la grande Soraya veille sur la petite ».